mercredi, mars 01, 2006

Week-end imposé

Hier soir, après un petit repas japonais chez Higuma (Gyoza et Yakinikudon toujours aussi excellents), direction le Gaumont Opéra Premier pour Le Nouveau Monde. Terrence Mallick filme toujours la nature comme personne. J'ai adoré le film. J'y reviens plus en détails dans un prochain billet.

Aujourd'hui et demain, journées de RTT imposés. Oui, deux jours de repos, c'est cool. Maintenant, quand c'est décidé la veille à 10h00, parce qu'on se rend compte à l'administration que j'ai pas mal d'heures à récupérer et qu'à partir de la semaine prochaine, ça va être mission impossible, c'est un poil moins apprécié. Mais bon, je vais bien réussir à en profiter quand même.

Au programme, en vrac : séances ciné avec ma chére et tendre, avec au choix, Brokeback Mountain, L'Ivresse du pouvoir, Syriana, Get rich or die trying, Walk the Line, Mémoires d'une Geisha, 13 Tzameti. Aller faire un tour chez le coiffeur afin d'arrêter de ressembler à un fils caché des Beatles. Acheter un réveil pour ne plus être obligé de dormir trop près du téléphone portable et m'inquièter un peu moins des quantités d'ondes téléphoniques reçues par mon cerveau pendant la nuit. Ranger l'appartement. Terminer Shadow of the Colossus pendant qu'Aurélia fait sa tournée de factrice, vu qu'elle ne supporte pas d'assister à la mort des colosses du jeu, qui, il est vrai, est mise en scène de manière à faire culpabiliser le joueur (j'essaie d'y revenir également dans un billet plus détaillé une fois que j'ai fini le jeu). Finalement, 48 heures, ça va peut-être faire un peu court. Mais, bon, un week-end au milieu de la semaine, ça ne se refuse pas.

Bande-son du moment : les bruissements d'ailes de Piou-piou qui vole dans l'appartement.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Le reveil de Mickey est cassé ou trop bruyant....?

David a dit…

Trop bruyant pour rester près de nous dans la nuit (le tic-tac m'obsédait), il trône depuis plusieurs mois sur le meuble de l'entrée et nous est très utile quand on est dans la cuisine. Ne vous inquiétez, on l'aime trop, votre cadeau, pour ne pas en prendre soin.